Les présidents du Burkina Faso ( Roch Marc Christian Kaboré), du Ghana (Nana Akufo-Addo), de la Côte d’Ivoire (Alassane Dramane Ouattara), du Niger (Mahamadou Issoufou), du Nigeria (Muhammadu Buhari) et le président de la Commission de la Cédéao, Jean-Claude Brou (3e en partant de la droite), le 7 septembre 2020, à Niamey. Photo : AFP / Boureima Hama
Les présidents du Burkina Faso ( Roch Marc Christian Kaboré), du Ghana (Nana Akufo-Addo), de la Côte d’Ivoire (Alassane Dramane Ouattara), du Niger (Mahamadou Issoufou), du Nigeria (Muhammadu Buhari) et le président de la Commission de la Cédéao, Jean-Claude Brou (3e en partant de la droite), le 7 septembre 2020, à Niamey. Photo : AFP / Boureima Hama

Lundi 7 septembre 2020, hier donc, l’organisation ouest-africaine réunie à Niamey, intime l’ordre au Mali de désigner et le Président et le Premier ministre, en moins d’une semaine.

Le Mali qui est sous embargo, le Mali qui n’a pas encore réussi à réunir la junte, la classe politique et la société civile autour d’une même table, le Mali qui fait face au terrorisme ! Une véritable entreprise de sabotage d’un pays.

C’est à croire que les Chefs d’état de l’organisation ouest-africaine partagent les tares que le peuple malien reproche à IBK et qu’ils craignent de subir chez eux le sort de leur malheureux ex-collègue.

Le Chef de l’état togolais, lui, n’a rien à craindre. Chez lui c’est l’Armée elle-même qui fait la pluie et la beau temps. Il se contente d’en être le porte-drapeau.

Zakari Tchagbalé

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