[iframe src= »http://www.youtube.com/embed/ZVUfkTshgRM » width= »100% » height= »500″] 25 Octobre 2017: Suite à la déclaration de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest,CEDEAO à Niamey au Niger hier 24 Octobre 2017 lors de la réunion des cineq Chefs d’Etats de la réunion aux sujets de l’utilisation de la monnaie unique dans l’espace communautaire et de la crise polique qui sévit au Togo, la position des quatre Présidents qui parlent au nom de la CEDEAO qui donne l’impression encore une fois après 2005 de soutenir la dictature cinquantenaire incarnée par Faure GNASSINGBE a fait réagit la classe politique de l’opposition togolaise dont Me Isabelle AMEGANVI, 2ème vice-Présidente de l’Alliance Nationale pour le Changement, ANC, Présidente du Parlementaire de ce parti qui trouve qu’il revient à la majorité des Togolais de libérer des tyrans au lieu d’attendre la Communauté internationale.
[iframe src= »http://www.youtube.com/embed/km1hjzaOSRQ » width= »100% » height= »500″] 25 Octobre 2017: La classe politique de l’opposition n’a pas apprécié les propos mensongers tenues par le Président du groupe Parlmentaire UNIR, Chistophe TCHAO sur les antennes de la radio’Africa N°1 lors du débat le lundi dernier au sujet des affirmations qu’il a avancé accusé l’opposition d’avoir appelé à éliminer les Kabyè. Un déplacement du problème politique sur le camp tribal’ irresponsbilté’ dira-t-on lorsqu’un élu tient des pripos tribal sur une antenne internationale’ Si le pays brûle, il brûlera avec nous tous’, ce discours vient également de lui, il y a quelques jours. Il a mié nd reconnaitre la présence des milices soutenus par son camp qui ont massacré des Togolais.
Me Isabelle AMEGANVI, Président du groupe Parlementaire ANC dans ce entretien l’a mis à sa place et lui lance le défi sur ses allégations.
[iframe src= »http://www.youtube.com/embed/MUId5PxtyRA » width= »100% » height= »500″] 25 Octobre 2017: La Présidente du groupe Parlementaire ANC ,Me Isabelle AMEGANVI dans cet entretien qu’elle nous a accordé est revenue sur le dernier coup de force des députés de la majorité à l’Assemblée nationale en violant les textes en vigueur au sein d l’hémicycle avant d’élire Jean-Claude HOMAWOO de l’UFC comme membre de la Commission Electorale Nationale Indépendante.
