Notre champion « gnassional » est depuis ce week-end au pays des « hin-hon » chez son semblable Xi-Jinping, pour une visite de « travaillement ». Parmi tout ce qu’il y a comme pays au monde, c’est en Chine, chez ces « hommes sur deux » qui font quand même les choses en grand que « Woabé Faure » a trouvé à aller.
 
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D’ailleurs, pourquoi nous plaignons-nous ? L’essentiel, n’est-ce pas qu’il puisse nous ramener des cadeaux de voyage ? Il parait que déjà, plusieurs conventions sont signées dans plusieurs domaines. On parle de « méga financements chinois et remise de dette ». Les « kpakpato » (ragots) racontent même qu’il devrait ramener en quantité chinoise des « hine-hone », c’est-à-dire des Chinoises qui sont en trop plein là-bas pour ces « Gnassingbélandais » qui ne trouvent pas de femmes à épouser. Bon, parlons de choses sérieuses maintenant.
 
C’est en Chine que notre « prégodent chéri coco bondowé » s’est rendu. Pour les nécessités et les commodités de voyage, il devrait normalement s’accompagner d’un traducteur Chinois-François pour pouvoir piger quelque chose et surtout grâces aux rares spécialistes de la Chine dont notre pays dispose. Et dans la presse, il y a quelqu’un qui se peint comme un érudit de la Chine. Il parlerait chinois, mangerait chinois, boirait chinois, dormirait chinois, respirerait chinois, s’habillerait chinois. Sa coiffure même est chinoise. Toujours crâne rasé, tel un grand maitre du kung-fu, 10e dan, et qui a le pouvoir du bras de fer et détient la technique du cobra, sa démarche même est suffisamment chinoise. Seule la couleur de sa peau n’a rien de chinois. C’est du « akabaraka » (noir d’ébène) original. C’est le seul « nuinaliste », pardon, journaliste qui a réussi à arracher des mots au délégué général de ce vaste pays « à Togo ici » – suivez nos regards. En tout cas, il détient toute l’histoire de la grande Chine entre ses mains. Comment « Woabé Faure » peut-il alors aller chez Xi-Jinping sans l’unique érudit de la Chine que compte notre pays ?
 
On avoue que l’intéressé lui-même devrait beaucoup pavlover à l’idée d’accompagner le « sief de le tas » dans le pays qu’il maitrise le mieux, plus que l’histoire de son « mon beau village » quelque part dans l’Avé – vous avez pu sans doute identifier le type non ? Mais, comme on le dit chez les corps habillés, il a tiré à terre. Quand on vous dit que « Faure-vi » est bizarre, les gens ne croyaient pas. En voilà une preuve de plus. Nos sincères condoléances au plus chinois des « zournalistes » « gnassingbélandais » pour cet oubli fâcheux.
 
Source : Liberté
 




 

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