« Nous gagnons toujours les élections dans cette localité. Pour ce qui concerne les élections législatives qui viennent dans quelques jours, il est clair que nous les avons déjà gagnées ».
C’est par ces mots que Jean-Claude Homawoo, l’un des responsables de l’Union des Forces de Changement (UFC) a ouvert la visite que Gilchrist Olympio a rendue mardi aux populations d’Amlamé dans la préfecture de l’Amou.
A y voir plus près, tout porte à croire que l’UFC d’avant 2007 est différente de celle qu’on est en train de découvrir aujourd’hui.
Interrogée, la jeunesse d’Amlamé ne se reconnait plus dans les valeurs du parti de M. Olympio pour plusieurs raisons.
Pour une lycéenne, « il ne nous a pas été permis de poser des questions. Le festival que l’UFC vient de faire, je ne veux pas dire que c’est nul mais le message n’est pas convainquant parce qu’il y a 5 ans, nous avons entendu le même message mais rien n’a été fait sur le terrain. J’irai voter, j’ai vingt et trois ans maintenant mais je ne crois pas pouvoir voter l’UFC ».
Pour une femme visiblement pas contente de ce qu’elle a appelé son « ancien parti », plus question de parler de l’UFC à Amlamé.
« J’ai milité dans ce parti pendant plusieurs années. Si c’était avant, vous me verrez dans les couleurs de ce parti arguant les voies à la conquête de mes frères et sœurs. Aujourd’hui, je suis en noir parce que je ne suis pas du tout contente. Il ne nous est même pas donné l’occasion de nous exprimer. Regardez cette localité et dites-nous s’il y a eu un député UFC ici de 2007 à 2013 », se lamente la jeune femme très désabusée.
Pour d’autres encore, le député Tchakpana issu de la localité passe « sans oser dire un petit bonjour à nous ».
Le parti de Gilchrist Olympio en tournée à l’intérieur du pays a récolté des échecs dans les différentes zones visitées par la forte délégation à la tête de laquelle se trouve le président national du parti.
A Badou comme à Akébou lundi et à Amlamé et Atakpamé mardi, les populations ne sont plus nombreuses à fair le déplacement des meetings et des rencontres de l’UFC.
De plus, son leader n’attire plus une grande attention, ce qui dénote de la déception des populations.
togoinfos
C’est par ces mots que Jean-Claude Homawoo, l’un des responsables de l’Union des Forces de Changement (UFC) a ouvert la visite que Gilchrist Olympio a rendue mardi aux populations d’Amlamé dans la préfecture de l’Amou.
A y voir plus près, tout porte à croire que l’UFC d’avant 2007 est différente de celle qu’on est en train de découvrir aujourd’hui.
Interrogée, la jeunesse d’Amlamé ne se reconnait plus dans les valeurs du parti de M. Olympio pour plusieurs raisons.
Pour une lycéenne, « il ne nous a pas été permis de poser des questions. Le festival que l’UFC vient de faire, je ne veux pas dire que c’est nul mais le message n’est pas convainquant parce qu’il y a 5 ans, nous avons entendu le même message mais rien n’a été fait sur le terrain. J’irai voter, j’ai vingt et trois ans maintenant mais je ne crois pas pouvoir voter l’UFC ».
Pour une femme visiblement pas contente de ce qu’elle a appelé son « ancien parti », plus question de parler de l’UFC à Amlamé.
« J’ai milité dans ce parti pendant plusieurs années. Si c’était avant, vous me verrez dans les couleurs de ce parti arguant les voies à la conquête de mes frères et sœurs. Aujourd’hui, je suis en noir parce que je ne suis pas du tout contente. Il ne nous est même pas donné l’occasion de nous exprimer. Regardez cette localité et dites-nous s’il y a eu un député UFC ici de 2007 à 2013 », se lamente la jeune femme très désabusée.
Pour d’autres encore, le député Tchakpana issu de la localité passe « sans oser dire un petit bonjour à nous ».
Le parti de Gilchrist Olympio en tournée à l’intérieur du pays a récolté des échecs dans les différentes zones visitées par la forte délégation à la tête de laquelle se trouve le président national du parti.
A Badou comme à Akébou lundi et à Amlamé et Atakpamé mardi, les populations ne sont plus nombreuses à fair le déplacement des meetings et des rencontres de l’UFC.
De plus, son leader n’attire plus une grande attention, ce qui dénote de la déception des populations.
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