Réunis en Assemblée Générale ce mardi à Lomé, la Synergie des travailleurs du Togo (STT) accorde un moratoire de 24h au gouvernement avec suspension de la grève de 72h qu’elle a lancé. C’est ce qu’a rapporté un reporter de l’Agence Afreepress présent sur les lieux cet après-midi.
C’est unanimement que les syndicalistes regroupés au sein de la STT ont suspendu la grève avec un moratoire de 24 h au gouvernement.
Cette démarche selon les dirigeants de la Synergie vise à permettre au gouvernement d’entreprendre les discussions qui reprennent demain mercredi et de parvenir au plus vite à des conclusions.
«La journée de mercredi est une journée décisive pour la lutte que mènent les travailleurs togolais », a lancé Gilbert Tsolényanou, porte-parole de la synergie.
«Nous espérons que ce mercredi, nous aboutirons à un accord. Quand il n’y aura pas d’accord, nous nous retrouverons jeudi pour prendre une décision concernant ce qu’il faut faire pour la suite », a-t-il martelé.
Ce denier « doute » toutefois de « la bonne foi » du gouvernement. Il affirme que «le document de travail que le gouvernement a promis leur remettre pour étude avant la reprise des négociations c’est avéré être un faux document ».
Le rendez-vous est donc pris pour la reprise des discutions demain au le ministère de l’enseignement supérieur.
C’est unanimement que les syndicalistes regroupés au sein de la STT ont suspendu la grève avec un moratoire de 24 h au gouvernement.
Cette démarche selon les dirigeants de la Synergie vise à permettre au gouvernement d’entreprendre les discussions qui reprennent demain mercredi et de parvenir au plus vite à des conclusions.
«La journée de mercredi est une journée décisive pour la lutte que mènent les travailleurs togolais », a lancé Gilbert Tsolényanou, porte-parole de la synergie.
«Nous espérons que ce mercredi, nous aboutirons à un accord. Quand il n’y aura pas d’accord, nous nous retrouverons jeudi pour prendre une décision concernant ce qu’il faut faire pour la suite », a-t-il martelé.
Ce denier « doute » toutefois de « la bonne foi » du gouvernement. Il affirme que «le document de travail que le gouvernement a promis leur remettre pour étude avant la reprise des négociations c’est avéré être un faux document ».
Le rendez-vous est donc pris pour la reprise des discutions demain au le ministère de l’enseignement supérieur.