Moins de 24 heures après la recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) décidée lors de la 2ème réunion du comité de suivi de mise en œuvre de la feuille de route de la CEDEAO, le Nouvel engagement togolais (NET) débarque de cette institution où il est représenté par un représentant.
C’est ce que Gerry Komandéga Taama, le président de ce parti politique vient d’annoncer en conférence de presse ce lundi à Lomé. Selon lui, au-delà du caractère contestable de cette recomposition qui viole les articles 12, 14 et 19 du code électoral, le NET prend acte de cette décision et ne la contestera pas.
« Pour nous le plus important aujourd’hui, c’est l’intérêt du pays. Dès lors qu’il y a de nouvelles personnes qui sont désignées, que ce soit à la CENI, dans les CELI et dans les CLC, nous sommes prêts à passer la main. Cela ne nous coûtera rien parce que ce n’est pas cela qui donne des sièges à l’Assemblée nationale, ni les conseillers municipaux », a-t-il déclaré.
A en croire M. Taama, le NET aurait pu contester cette décision. Cependant, souligne-t-il, aujourd’hui, il n’y a aucun intérêt à ajouter une autre crise à une crise. « L’important, c’est qu’on puisse avoir un processus électoral crédible », a-t-il ajouté.


Moins de 24 heures après la recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) décidée lors de la 2ème réunion du comité de suivi de mise en œuvre de la feuille de route de la CEDEAO, le Nouvel engagement togolais (NET) débarque de cette institution où il est représenté par un représentant.
C’est ce que Gerry Komandéga Taama, le président de ce parti politique vient d’annoncer en conférence de presse ce lundi à Lomé. Selon lui, au-delà du caractère contestable de cette recomposition qui viole les articles 12, 14 et 19 du code électoral, le NET prend acte de cette décision et ne la contestera pas.
« Pour nous le plus important aujourd’hui, c’est l’intérêt du pays. Dès lors qu’il y a de nouvelles personnes qui sont désignées, que ce soit à la CENI, dans les CELI et dans les CLC, nous sommes prêts à passer la main. Cela ne nous coûtera rien parce que ce n’est pas cela qui donne des sièges à l’Assemblée nationale, ni les conseillers municipaux », a-t-il déclaré.
A en croire M. Taama, le NET aurait pu contester cette décision. Cependant, souligne-t-il, aujourd’hui, il n’y a aucun intérêt à ajouter une autre crise à une crise. « L’important, c’est qu’on puisse avoir un processus électoral crédible », a-t-il ajouté.
Mais le NET reste ouvert à toute sollicitation de la coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise.
A la CENI depuis 11 mois, le NET dit avoir dit avoir veillé au respect des normes et règles démocratiques. « Nos militants à la CENI, dans les CELI et les CLC ont abattu un travail remarquable dont vont hériter ceux qui seront désignés par l’opposition parlementaire pour poursuivre le travail », a lancé Gerry Taama.
Sont dans la même situation que le NET, les partis politiques comme le Parti démocratique pour le renouveau (PDR) et l’Organisation pour bâtir dans l’union un Togo solidaire (OBUTS). Même l’Union des forces de changement (UFC), le parti au gouvernement qui, se réclame de l’opposition du fait du statut de l’opposition, ne pourra pas se retrouver à la CENI.
 
Global actu
 

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