Où sont les vuvuzelas du régime togolais ? Où sont ceux qui s’égosillaient comme quoi Patrice Talon était au Togo pour inviter spécialement le fils du père à son investiture ? Comme quoi la nature rétablit toujours la vérité et l’investiture du nouveau président béninois est une preuve que le mensonge ne paye point.
 
Alors que Boni Yayi s’en va après ses deux mandats au pouvoir comme la constitution béninoise l’exige et le nouveau président Patrice Talon est investit, le très « mal élu » togolais Faure Essozimna Gnassingbé a été poliment mis à sa place par le « bien élu » béninois. Aoutch ! | Caricature : Donisen Donald / Liberté
Alors que Boni Yayi s’en va après ses deux mandats au pouvoir comme la constitution béninoise l’exige et le nouveau président Patrice Talon est investit, le très « mal élu » togolais Faure Essozimna Gnassingbé a été poliment mis à sa place par le « bien élu » béninois. Aoutch ! | Caricature : Donisen Donald / Liberté


Alors que Boni Yayi s’en va après ses deux mandats au pouvoir comme la constitution béninoise l’exige et le nouveau président Patrice Talon est investit, le très « mal élu » togolais Faure Essozimna Gnassingbé a été poliment mis à sa place par le « bien élu » béninois. Aoutch ! | Caricature : Donisen Donald / Liberté
Alors que Boni Yayi s’en va après ses deux mandats au pouvoir comme la constitution béninoise l’exige et le nouveau président Patrice Talon est investit, le très « mal élu » togolais Faure Essozimna Gnassingbé a été poliment mis à sa place par le « bien élu » béninois. Aoutch ! | Caricature : Donisen Donald / Liberté
 
Qu’est-ce que les Togolais n’ont pas entendu lorsque Talon « a choisi le Togo comme premier pays à visiter ». A la différence que c’est en tant que « futur » président et non l’actuel. En plus, la visite n’a duré que quelques heures, puisque ce jour même, le « bien élu » est allé rencontrer Ouattara. Plus le temps passe, plus on en devine un peu plus sur la raison probable qui peut avoir poussé le voisin de l’Est à fouler le sol togolais à quelques jours de son investiture.
 
Mercredi donc, c’est devant son peuple et quelques invités tirés sur le volet que, bien qu’il ait été élu proprement, Patrice Talon a choisi de prêter serment et d’être investi nouveau président de la République du Bénin. Pas trace d’un seul chef d’Etat. Etait-ce pour ne pas faire de jaloux ? Etait-ce pour ne pas créer une crise diplomatique avec des « mal élus » ? Le constat était que l’absence de ses pairs n’a en rien refroidi la ferveur du peuple et la fierté d’être Béninois mercredi dernier.
 
Un seul mandat « impossiblement renouvelable », tel est le temps que passera le nouveau locataire au palais de la Marina. Dans la norme, c’est un mandat renouvelable une fois. Mais des chefs d’Etat, à commencer par le fils à papa, ont choisi de trucider les lois fondamentales pour demeurer ad vitam aeternam au pouvoir. Or il se trouve que ce fils du père, tout Magellan qu’il est, est capable de s’inviter à la cérémonie d’investiture. Les Béninois auraient certainement hué Talon s’il avait donné une invitation à celui-là qui a posé du chewing-gum dans le fauteuil présidentiel avant de s’y asseoir. Avec cette image, vous vous demandez comment fait-il pour faire ses besoins ? Vérifiez seulement au milieu du fauteuil, vous y détecterez un trou à peine visible ; la chose étant souvent longiligne, n’a pas besoin de trop d’espace pour passer.
 
Au finish, des informations dignes de foie et de pancréas nous renseignent que c’est pour ne pas voir son investiture gâché par une présence peu agréable à voir aux Béninois que l’homme s’est empressé de débarquer afin de freiner les élans du Magellan. Comme quoi, il y a des présences qui portent la poisse à des cérémonies !
 
Source : Liberté
 

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