Y aura-t-il d’autres participants au dialogue politique qui s’ouvre le 15 février prochain à part les « vrais » protagonistes de la crise sociopolitique togolaise que sont le régime en place et la coalition des 14 partis politiques de l’opposition togolaise ?
Dans un communiqué de presse que vient de rendre public l’Organisation pour bâtir dans l’union un Togo solidaire (OBUTS), Agbéyomé Kodjo exhorte le gouvernement à « veiller à ce que ce dialogue politique soit le plus inclusif possible ».
Dans l’entendement des responsables de la coalition des 14, il n’y aura autour de la table que les deux (2) parties les plus concernées par la crise et les discussions vont prendre en compte leur plateforme revendicative à quatre (4) points, notamment le retour à la Constitution de 1992, le vote de la diaspora et la libération de toutes les personnes incarcérées dans le cadre des manifestations et des incendies des marchés de Kara et de Lomé.
En attendant les prochains jours au cours desquels l’opinion sera située sur les participants à ce dialogue cher aux Togolais, l’ancien Premier ministre, président d’OBUTS appelle également le gouvernement à prendre des « mesures idoines » en vue de la tenue effective et de la réussite du dialogue politique.
source : Global actu

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