© togoactualite – Le sommet sur la sécurité et la sureté maritimes et le développement en Afrique entre dans une phase décisive à partir de ce vendredi avec l’arrivée des chefs d’Etat et de gouvernement. Ainsi on assiste à un renforcement des mesures sécuritaires qui étaient déjà draconienne en début de semaine.
La zone de la conférence hôtel Radison Blu-Palais des congrès-CASEF est strictement interdite d’accès. C’est ce que le ministre de la sécurité et de la protection civile, le colonel Yark Damehane, a communiqué ce jeudi à la population.
Selon le ministre le secteur de la réunion est subdivisé en deux ceintures de sécurité.
La première bleu qui est activée depuis le début de la semaine va du boulevard du 13 janvier vers le lieu de la réunion.
La deuxième ceinture, celle-ci rouge entre dans sa phase active à partir de ce vendredi à 00h.
Cette ceinture rouge part du Nord par la rue Nicolas N’Grunitzky, (la rue qui longe la mairie), la limite Ouest c’est l’avenue des neems, (la rue qui longe Oranbank vers la BCEAO et qui débouche sur la radio-télévision togolaise), la limite Sud de la ceinture de sécurité est l’avenue Sarakawa (qui part du Monument des martyrs et qui passe entre le CASEF et le ministère de l’équipement et débouche sur la direction des mines).
Avec l’activation de cette ceinture rouge, l’accès à l’hôtel Radisson Blu et au Palais des congrès n’est permis qu’à des véhicules strictement autorisés. Les laissez-passer qui étaient jusque là autorisés pour avoir accès à la zone ne le seront plus. La circulation strictement restreinte.
De même, le parking du palais des congrès et de Radison Blu n’est autorisé. Tous ceux (délégués ou invités) qui vont vers ce secteur utiliseront les navettes mise en place. Ces navettes sont positionnées à trois stations à savoir : au niveau de la rue qui va vers la CENETI, en face du ministère des affaires étrangères, et en face de l’ancienne Présidence de la République.
La population est appelée à respecter scrupuleusement ces mesures. Notons que la réunion de Lomé devrait déboucher sur la signature d’une charte qui règlementera le secteur des océans et des mers. Sont attendu plus d’une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement et 3000 délégués.
lomévi (www.togoactualite.com)