Permettez-moi de citer Claire Martin artiste écrivaine, romancière
« Le racisme est bien l’infirmité la plus répugnante parmi les diverses laideurs de l’humanité »
Le racisme trouve son origine dans l’esclavage, la colonisation.

LE SCEAU DES VALEURS NEGATIVES

Permettez-moi de citer le philosophe Friedrich HEGEL pour introduire ma planche :
« Le mal n’est autre chose que l’inéquation de l’être au devoir d’être. Friedrich HEGEL »
Pour la suprématie blanche et leurs suppôts, les noirs qui contredisent leurs tendances criminelles de racisme ne devraient pas être sensibles aux maux ou aux souffrances d’ordre physique et d’ordre moral.

Le peuple noir vit ces maux en actes quotidiens, par des sensations physiques ou psychiques douloureuses, parce que le pouvoir de la suprématie blanche fait l’étude des mauvaises conduites des comportements appelés négatifs de la population noire entre parenthèse (le progrès, la liberté de paroles, la recherche de la vérité, la bonne éducation,
la justice, l’équité, l’égalité, la bonne gestion).

• Tout citoyen noir qui vante le mérite de ces valeurs est systématiquement considéré comme un agent subversif, un perturbateur, un provocateur ou quelqu’un qui tendance à menacer, ou à renverser ordre établi.

Le régime de survie de la suprématie blanche se résume à des remèdes de cruautés, de la violence, d’humiliation pour faire rentrer dans le rang.

. La suprématie blanche et ses thuriféraires mènent une politique de « la survie », comme dans le monde animal, il ne conçoit pas le mal en termes de conscience humaine, mais en bon primate naturel, agresser un congénère, c’est un mécanisme instinctif, et le clan de la suprématie a une indifférence à la douleur qu’il engendre à l’autre, laissant peu de
place à la bienfaisance, à la compassion.

Ce qui compte c’est l’instant présent, coller à l’immédiat, leurs esprits n’ont pas besoin de se projeter ni dans l’avenir ou dans le passé, ni de s’interroger sur la droiture de leur conduite.
Tout se passe en ces mots de tendances primaires et étroites :
« Prédation, domination, agression, thésaurisation des privilèges en des termes humaines plus lisibles, le vol, l’abus d’autrui, la violence, l’égoïsme, l’injustice sociale, le crime économique, la torture, le harcèlement morale, policier, l’arbitraire de gestion, la barbarie, la perversité, la méchanceté ».

En ce jour, la suprématie blanche n’a pas encore atteint le processus du respect de la volonté de l’autre, humain.
Elle vit avec l’instinct animal des fauves.
Récits anecdotiques pratiques de langage de provocations des racistes
Dans les relations des racistes aux noirs, on y trouve des langages orduriers pour provoquer, injurier, dénigrer, diffamer, et des décisions à tiroirs pour salir.
Être noir dans une entreprise où la suprématie raciste domine, c’est voir sa carrière bloquée, ou être licencier du jour au lendemain après des harcèlements moraux, sur le sceau de l’arbitraire.

« Même le bonjour devient un harcèlement sexuel, un élément factuel où ton regard a déshabillé ta collègue »
« Ton sourire devient une moquerie, où on ajoute toujours factuellement les multiples motifs (des mots qui te sont étrangers, des pensées ignobles).
Dans le monde noir, les champions sportifs ont tous votre genou à leur cou, « Cassus clay, Michael Jordan », les intellectuels noirs des subversifs « Cheik ANTA DIOP, Aimé Césaire », des musiciens noirs de talents exceptionnels « Michael Jackson, Jimmy Cliff, Jimi Indrix, Prince, James Brown» des politiques Martin lutter King, Barack Obama pour son acte de naissance. Etc. etc.

Permettez-moi de citer Le philosophe Jean Jacques Rousseau pour éclaircir cette théorie.
Dans EMILE :« la conscience est l’instinct divin, et une céleste voix, qui guide un être ignorant et borné, mais intelligente et libre juge infaillible du bien et du mal qui rend l’homme semblable à Dieu, sans cette conscience qui fait de nous l’excellence de notre nature humaine, par la morale de nos actions, qui nous élève au-dessus des bêtes et nous empêche d’avoir le triste privilège de nous égarer d’erreurs en erreurs avec un entendement sans règle, sans raison , sans principe ».

L’exaltation de Jean Jacques Rousseau met en lumière l’importance de la conscience morale pour la constitution de l’espèce humaine universelle pour sortir l’humain de l’obscur chemin et construire un rempart pour se protéger de la cruauté.

La conduite du chat à la souris s’apparente à la cruauté à faire souffrir sans conscience, de torture en torture avant de mettre fin à la vie de la souris.
Pour Conclure :

Mes souhaits sont que la suprématie blanche raciste se rend compte de son retard dans ce siècle pour ne plus nous reproduire le 15 ème siècle dans le xxi siècle.

Jacob ATA-AYI

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