photo@lynxtogo.info
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21 juin 2020, fête des pères et fête de Faure Gnassingbé ! Le président du Togo régente le pays et gère la nation comme dans un bordel. Nous n’allons pas réécrire ce que l’Egyptologue béninois Coovi Gomez a dit en mondo vision sur la boulimie sexuelle chez les Gnassingbé de père en fils. Nous nous contentons ici d’apporter les preuves de cette boulimie.

Tout commence par le père Bébi Amorin. Jouisseur, viveur et «dandy» connu dans le tout Lomé dans les années 1980 qui doit prendre la clé des champs. En effet, l’homme vient de brader une société de la place. Comme tout voleur, il faut vite fuir pour éviter les geôles de Gnassingbé Eyadema. Il se réfugie en France et fait un tour en Allemagne, bien sûr sans succès. Entre temps, Lawson Merlot venait de rater son coup d’Etat contre Gnassingbé Eyadema vivote en France. Ici, il faut rappeler que, la mère de Bébi Amorin a d’abord eu pour premier fils Lawson Merlot. Grosso modo Bébi Amorin et Lawson Merlot sont des demi-frères. À la faveur de l’armistice de 1990, tous les Togolais qui avaient des problèmes avec la dictature peuvent rentrer. Le grand et «beau» Bébi Amorin redépose ses valises à Lomé. Sauf que, l’argent manque. L’homme fait le tour de Lomé et écume les boîtes de nuits. Sa fille Carita Amorin née du second mariage est fille unique. Elle doit se chercher dans les bras d’un fils de baron. Au Togo, le baronnât brutal et ultra riche du septentrion à pour référence les enfants issus de la bourgeoisie côtière. Ici, le complexe a atteint des limites proches à celui que l’homme noir éprouve devant l’homme blanc en Occident. Les futurs arrivistes du nord Togo disent qu’au sud, les femmes ont une tendresse inégalée. Passons.

Entre le fils d’un baron qui doit entretenir sa fille Carita, le père himself choisi l’argentier de la famille Gnassingbé. La ballade entre le beau-père Bébi et le beau-fils Faure se termine dans les boîtes de nuits. Ils font des virées sporadiques dans les night clubs de Lomé. Faure Gnassingbé toujours un peu réservé mais très truculent au lit. Il tire une fois et la belle Carita lui enfante une petite fille. Le père Bébi, hier sans argent commence par transpirer des billets craquants. Une Amados raconte à LynxTogo.info : «Quand nous avions vu «Tonton Bébi» donner de l’argent comme des petits pains lors de l’anniversaire de grand-mère, nous avons compris que les Gnassingbé étaient de nouveau avec nous». Le second tire de Faure enfante de nouveau une autre fille. Les Amorin (côté Bébi pas côté Tavio Amorin) sont dans les nuages et l’argent coule comme de la bière dans un «Oktoberfest» en Allemagne. Au lit, la belle Carita fait l’erreur de raconter de l’intelligence de sa cousine Cina Lawson qui aurait étudié à Havard. Comme si Havard symbolisait l’éthique, Faure Gnassingbé ordonne à celle-ci de le rejoindre. La mayonnaise prend. Les Togolais sont tétanisés de voir en fracas le retour de ces «enfants prodiges» dont les papas ont été par le passé selon le régime des terroristes et voleurs de la république. Le cas du fils Bénissan assis à la présidence comme conseiller est un exemple vivant ! Dans les années 1980 alors, ministre de l’économie, Tetevi Benissan emporte avec lui tout l’argent du peuple togolais vers les Etats-Unis. Quand le ministre voleur fait un tour chez l’ex ministre de l’économie Djobo Boukari pour une visite de courtoisie, le kotocoli ouvre le feu : «Toi, tu n’as rien vu à voler, c’est l’argent de tout un peuple que tu trouves bien de voler ? ». Fin de partie !

Par la bénédiction de la maman de Cina Lawson, sa fille est priée de faire les mêmes exercices des jambes en l’air comme la cousine Carita qui croyait en son intelligence et naïvement a sa vertu. Le président avec un palmarès de quatre quinquennats et plus de 500 morts dans le placard a dans sa gibecière plusieurs fers au feu. D’abord Carita Amorin et ensuite Cina Lawson. Depuis, ce qui réunit ces «Bimbos» de la republique est l’argent facile, leur vrai Dieu. Quant à leur gigolo mari, amant, copain, ami, protecteur, ramassé tout ce que vous voulez, il aurait parait-il  la « kekette» la plus grosse et la plus longue. L’aventure féminine peut continuer…..le ballet avec l’argent des Togolais dans des œuvres libidinales aussi. La construction des hôpitaux, des écoles, des routes…peut toujours attendre.

Taffa Biassi

Lynx.info

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