logo togoactualite

TogoActu, votre nouvelle source d’info moderne pour tout savoir sur le Togo et l’actualité mondiale. Restez informé en temps réel avec des contenus fiables, clairs et accessibles à tout moment.

Email: contact@togoactualite.com

Heures de services: Lundi à Vendredi de 9:30am à 6:30 pm

Togo: Faure Gnassingbé n’entend pas partir en 2020!

Togo: Faure Gnassingbé n’entend pas partir en 2020!

Mots clés
IN

Infos du pays

Auteur de cet article
Voir ces articles

Nous tenons à rappeler aux visiteurs du site que sans partenariat avec togoactualite.com, la reprise des articles même partielle est strictement interdite. Tout contrevenant s'expose à de graves poursuites.


Partira ou partira pas? Depuis quatre mois, une partie de l’opposition togolaise manifeste dans la rue pour exiger des réformes constitutionnelles et institutionnelles, dont la mise en oeuvre signifierait, pour elle, le départ du président actuel du pouvoir. Ces appels ne semblent pas ébranler le chef de l’Etat togolais qui vient de lever un coin de voile sur ses intentions pour 2020.
Le nouveau numéro de Jeune Afrique à paraître ce dimanche devrait s’arracher comme de petits pains au Togo. Dans une interview accordée au journal, Faure Gnassingbé revient sur la crise politique que traverse le pays. Et sur la question de sa candidature ou non à la présidentielle de 2020, le président togolais Faure Gnassingbé a simplement assuré qu’il ne “se situait pas encore dans cette perspective“. Mais il semble

préciser le fond de sa pensée quand il déclare que “les Constitutions disposent pour l’avenir, non pour le passé“, a répondu celui participait samedi, à Abuja, au 52eme sommet extraordinaire de la conférence des Chefs d’Etat de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (Cedeao).
Le président a par ailleurs indiqué que le dialogue avec l’opposition s’instaurera “très rapidement en ce qui concerne sa phase préparatoire. Avant les fêtes de fin d’année“. Un dialogue qui, d’après lui, devra inclure les partis extra-parlementaires. “Nous avons, au sein de l’opposition, des partis représentés à l’Assemblée et des partis extraparlementaires : ils devront décider s’ils y viennent séparément ou en coalition. Nous avons aussi des partis qui n’ont ni manifesté ni revendiqué et qui agissent dans le cadre des institutions. Ceux-là aussi ont le droit de participer”, a-t-il déclaré à Jeune Afrique.