Les trois candidats de l’opposition à l’élection législative se trouvant toujours derrière les barreaux viennent de recouvrer la liberté provisoire.
Gérard Adja, vice-président OBUTS, Alphonse Kpogo, SG ADDI et Jean Eklu ont été libérés ce vendredi, veille du début de la campagne, par le Procureur de la république, Blaise Poyodi.
Un geste qui s’inscrit dans un souci d’apaisement pour leur permettre de battre campagne, indique le communiqué.
Ces responsables politiques membres du CST sont accusés d’être auteurs ou commanditaires des incendies qui ont consumé les grands marchés de Lomé et de Kara au début de l’année.
Malgré tout leurs dossiers de candidature ont été validés par la Cour constitutionnelle et ils figurent sur la liste du Grand Lomé.Récemment des négociations entreprises par Mgr Barrigah et l’ambassadeur des USA ont obtenu du pouvoir leur élargissement qui devrait intervenu un peu plus tôt.
Mais des sécurocrates se sont opposés à ces libérations arguant que certains ont fait appel que le dossier doit aller jusqu’à son terme.Il faut attendre la veille de la campagne et sous la pression pour les libérer.
lomévi (www.togoactualite.com)
Gérard Adja, vice-président OBUTS, Alphonse Kpogo, SG ADDI et Jean Eklu ont été libérés ce vendredi, veille du début de la campagne, par le Procureur de la république, Blaise Poyodi.
Un geste qui s’inscrit dans un souci d’apaisement pour leur permettre de battre campagne, indique le communiqué.
Ces responsables politiques membres du CST sont accusés d’être auteurs ou commanditaires des incendies qui ont consumé les grands marchés de Lomé et de Kara au début de l’année.
Malgré tout leurs dossiers de candidature ont été validés par la Cour constitutionnelle et ils figurent sur la liste du Grand Lomé.Récemment des négociations entreprises par Mgr Barrigah et l’ambassadeur des USA ont obtenu du pouvoir leur élargissement qui devrait intervenu un peu plus tôt.
Mais des sécurocrates se sont opposés à ces libérations arguant que certains ont fait appel que le dossier doit aller jusqu’à son terme.Il faut attendre la veille de la campagne et sous la pression pour les libérer.
lomévi (www.togoactualite.com)