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Vous croyez avoir tout vu avec la pandémie liée à la Covid-19 ? Eh bien non ! Même si la minorité pilleuse fait voir de toutes les couleurs aux populations avec cette pandémie, il y a des choses qui se passent ailleurs qui semblent sortir de l’entendement.
A l’approche de chaque fête, le régime avait l’habitude de corser les mesures restrictives pour freiner les contaminations pendant les périodes de fête. Eh bien, cette fois, il n’y a rien eu. Les Valentins et les Valentines ont fêté l’amour en toute quiétude le 14 février, sans distanciation sociale. Quand même ! Il s’agit de l’amour et «Faure-vi » a compris ça au moins. Mais cela n’a pas du tout été le cas en Thaïlande.
Là-bas, les fêtards ont célébré l’amour sur fond de mesures restrictives à la Covid-19. Et pas n’importe lesquelles. S’il est conseillé aux couples de passer un test antigénique avant de passer une soirée en amoureux, les autorités sanitaires du pays vont en revanche encore plus
Interdiction est également faite de s’embrasser pendant la Saint-Valentin. « Le Covid n’est pas une maladie sexuellement transmissible, mais on peut attraper le Covid en respirant de façon rapprochée ou en échangeant de la salive », a rappelé le directeur du Bureau de la santé reproductive thaïlandais. Aussi, ce dernier ajoute que les couples sont invités à éviter «les positions en face-à-face et les baisers profonds ». Dès lors, pas question de s’embrasser pendant ce jour dédié à l’amour.
Au moins « Faure-vi » et sa minorité ont épargné les « Gnassingbélandais » pour cette fête de l’amour. Pas de couvre-feu, pas de fermeture des bars. Rien. La fête a été versée « waaa ». Mais le plus grand cadeau que le jeune doyen puisse offrir au 228 est….l’alternance à la tête du pays.
Source : Liberté
