De l’électricité dans l’air à la prison civile de Lomé. Les informations qui nous parviennent ne sont pas rassurantes. En effet, il se fait qu’il y a certains détenus qui devraient recouvrer leur liberté mais sont malheureusement restés coincés à la maison d’arrêt de Lomé. Ceci par la faute de certaines personnes qui sont en train de jouer des rôles troubles et faire du business sur le dos des prisonniers dans cette période de Coronavirus.
Depuis quelques semaines, la prison civile de Lomé est au centre de l’actualité surtout avec la vague de contamination des centaines de détenus au Covid19. Depuis un certain temps, un désengorgement cette prison est en cours. Pour les détenus qui recouvrent leur liberté, séjournent pour deux semaines au camp GP à Agoè Logopé avant d’être définitivement libérer si ces derniers ne manifestent aucun signe de Coronavirus. Seulement, il se fait qu’actuellement, ce centre est aussi saturé. Mais, le premier responsable du Comité de coordination nationale de gestion de riposte Covid-19 (CNGR Covid-19), le Colonel Djibril aurait tout mis en œuvre pour chercher des endroits sécurisés pour accueillir les détenus dans le cas. Mais, il se fait que pour des intérêts égoïstes, notamment dans l’administration pénitentiaire, certains font tout pour maintenir les prisonniers dans les geôles. Selon nos informations, un business parallèle se crée actuellement pour trouver d’autres endroits où le réseau est sûr de trouver son gombo. Plus de 80 détenus sont dans cette situation. Exacerbés par le sort qui leur est réservé, ceux-ci veulent se faire entendre par tous les moyens pour du moins sortir de cet enfer. C’est d’ailleurs leur santé qui est en jeu. L’ambiance entre le CNGR du Col Djibril et l’administration pénitentiaire serait détériorée.
Nous y reviendrons