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Près d’un mois après les législatives au Togo, les acteurs impliqués dans le processus se sont retrouvés ce jeudi à Lomé pour une rencontre de débriefing du processus sur le plan sécuritaire.
 
C’était l’occasion pour le ministre de la sécurité, le Colonel Yark Damehame, à l’ouverture de se réjouir du fait que ces élections législatives se soient déroulées dans un climat apaisé et sans violences.La réédition des exploits de 2007 et 2010 est la preuve, selon le ministre, que les élections synonymes de violences au Togo s’éloignent à grands pas du pays.
 
Selon, le ministre, seul l’incident de la Radio Légende est le grain de sable qui s’est glissé dans ce processus.Il a ainsi par ailleurs, réédité son appel de partenariat entre journalistes et forces de sécurité pour mettre en place un cadre de concertation pour aplanir les malentendus entre les deux corps de métier.
Pour sa part, le vice-président de la CENI, Me Jean-Claude Homawoo, a rendu un hommage mérité aux éléments de la FOSEL pour leur abnégation, leur patience, leur discipline et leur maîtrise de soi et surtout le professionnalisme.
 
S’agissant du bon déroulement des élections, pour le représentant de l’institution en charge de l’organisation des élections, les populations et la FOSEL se sont convenu d’un « gentlemen agreement de non affrontement et de non violence tant physique que verbale ».
 
Au cours des débats proprement dits, la FOSEL a fait des difficultés rencontrées dans l’exercice de cette mission. Ces difficultés concernent les moyens roulant insuffisants, les défaillances des transmissions, l’ouverture tardive et le départ prématuré de certains agents de centres de vote.
 
Rappelons que la force spécial élection législative 2013 est mise en place pour assurer la sécurité du processus électoral au Togo.
 
lomévi (www.togoactualite.com)
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