A*RPT-UNIR les valeurs et le logiciel de la mafia en jeu

« LE RPT-UNIR, c’est le parti arrogant de hold-up permanent et de l’arbitraire, c’est le règne d’un dogme lugubre du bréviaire des mensonges, c’est la chaîne la plus lourde que le togolais ait jamais portée »

Le  RPT-UNIR est le monstre de la division et de l’obscurité, le prédateur des ressources économiques au Togo, l’organiseur des rituels de la mort en aspect périssable et destructif de l’existence des togolais, facteur essentiel des forces négatives et régressives des cantons de Kouméa, de Lama, aux régions des Lacs, de Kloto, de Dapaong, de l’Ogou et de Lomé.

Le RPT-UNIR semble avoir cumulé les tendances antagonistes larvées à une crise structurelle qui s’étend dans le quotidien des togolais de l’intérieur du pays à la diaspora.

La crise aiguë du logiciel stalinien  est le produit des mauvais rapports existant entre le RPT-UNIR et son environnement, entre les togolais et les institutions.

Cette crise n’est pas seulement la crise d’un système RPT-UNIR, mais une crise de l’inconscient et du subconscient des dirigeants RPT-UNIR qui dira-t-on, n’est pas encore au niveau des valeurs de la civilisation Egyptienne, Grecque et même de la Rome la plus sanguinaire de toutes les civilisations antiques.

Ils n’arrivent pas à intégrer une conception de la vie et de l’homme née de la renaissance,

La violence obstrue est l’un des symptômes de cette crise.

L’autre symptôme fondamental est le non respect de la volonté d’un être, d’un peuple.

Tout est dans le mensonge, dans la manipulation, la violation de la volonté de l’autre, même de ses dernières recommandations.

La non relation avec les valeurs universelles, fausse le jeu de la compréhension  et en résulte un sentiment de frustration et d’apathie des peuples du Togo et de la diaspora.

Eyadema et son fils veulent dans leur rêve construire une dynastie sous la protection des intérêts de  l’extérieur au mépris des togolais, le bétail électoral alibi pour s’asseoir à la table  des dirigeants du monde.

Ce qui échappe aux togolais sous la conduite du baby doc togolais est encore beaucoup plus important que ce qui nous est connu.

L’instrumentalisation de l’ignorance du peuple et du bâillonnement des citoyens, semblent être un modèle harmonieux du rêve de la famille dictatoriale des Gnassingbé et de ses suppôts  pour créer une société duale qui se décrit par des castes liées par un ordre autoritaire, un modèle fortement hiérarchisé, hiérarchique militaire, où l’appauvrissement des idées et des valeurs se conjuguent avec l’ordre arbitraire.

Une société sans mobilité sociale, sans égalité, sans fraternité, sans démocratie, ni liberté pour tous.

Une société dictatoriale où les Gnassingbé seront à jamais des dieux, des déesses et les suppôts des contremaîtres serviteurs nommés, promus, et mis en disgrâce comme dans la pyramide des maîtres et des esclaves.

Tantôt en rééducation dans les geôles du pouvoir pour maintenir le peuple togolais aujourd’hui dans le rôle non glorieux de l’esclave.

Le RPT-UNIR avec le denier public des togolais, favorise les renseignements par des associations multiples, des cellules dormantes et actives dans la diaspora.

B*Pour une société démocratique opérationnelle.

« L’opposition togolaise,  tant que vous demeurerez tous dans l’union, vous serez si forts que rien ne pourra vous ébranler ; mais dès que vous serez désunis, vous vous affaiblirez de telle sorte, que le moindre choc suffira pour vous abattre »

L’opposition togolaise dans son ensemble, doit se poser la question fondamentale : Que faire ? Pendant 57 ans d’échec où le peuple fait son travail, voter pour le changement et les élites n’arrivent pas à traduire en gestion la volonté exprimée par le peuple togolais.

Un véritable travail, un plan de recherche et de reconstruction s’impose.

Ce travail indispensable n’est pas l’affaire d’une poignée d’intellectuels, mais la mise en place d’un plan qui fera appel à la méthodologie expérimentale qui nous permet de réduire les risques d’erreur et de garder toujours une vision ouverte et non dogmatique.

L’expérimentation doit établir les fondements d’une méthodologie communicable à tous comme une valeur démocratique opératrice.

La démocratie opératrice qui emploie un autre langage pour rassembler et pour réaliser les valeurs affirmées.

La sincérité, bannir la langue de bois et l’égoïsme exacerbé.

Instaurer la solidarité et la tolérance, un acte d’acceptation réelle.

Enseigner à notre peuple l’immortalité des ancêtres, des martyrs  et bannir la peur de la mort pour en faire des soldats aguerris, des esprits guerriers.

 Enseigner à notre peuple les valeurs des rituels de la mort, qu’il s’agisse de la mort biologique, de la mort sociale, l’exil, le bannissement, l’excommunication ou la mise en retraite, la mort psychique comme la mort spirituelle, il y a  rejet.

C*Réenchantons Ablodé par l’union Elite-Masse.

« En effet, par l’union, les petites choses grandissent, mais par la discorde les plus grandes s’effondrent. »

Je voudrais dire qu’il n’y a aucun jugement de valeur dans mes pensées  qui entache cette notion de l’élite et de masse, aucun sens laudatif n’est attribué à l’un, et péjoratif à l’autre.

Il s’agit d’une commodité d’un vocabulaire concis.

Toute élite fait partie du peuple et l’élite est composée, de féticheurs, de créateurs, d’intellectuels, de pasteurs, de prêtres, de religieux musulmans, de musiciens, de couturiers-stylistes, de menuisiers-designers, des docteurs, des ingénieurs, des pharmaciens, et de commerçantes.

Celles et ceux qui par le don naturel et le travail se sont distingués par le peuple.

Je voudrais m’adresser aux leaderships politiques, « Dodji Apévon, Jean Pierre Fabre, Agbéyomé Kodjo, Kafui Johnson Adjamagbo, et Tikpi Achadam » à reconstruire une unité sincère pour maintenir une stabilité de la relation élite-masse, à privilégier le changement, le leitmotiv des peuples togolais au dessus de vos narcissismes, à manifester par vos actions l’amour du peuple plus fort que la petite bataille des « égos ».

Soumettez vos projets aux peuples du territoire togolais et à la diaspora, demandez leur assentiment et enseigner les, la manière de voter, faire des exercices pratiques à travers le territoire. 

Dans les facultés, on fait des travaux dirigés, alors aller vers les peuples pour faire des travaux pratiques ou des travaux dirigés.

Demander le concours des associations civiles  de la diaspora dans ce domaine et en étroite collaboration avec les associations culturelles, de l’opposition pour apprendre dans des votes fictifs les week-ends après une chanson, une danse  comment voter.

Enseigner les à contrôler les urnes, et l’essence de ce devoir.

Demander à la diaspora des ressources humaines en informatiques, en médias, en lobbies, pour venir vous appuyer, et rendre opérationnelles vos démarches sur la place publique en face des peuples.

Lancer la mobilisation des seniors et des jeunes pour faire du sport, de l’intelligentsia, sur l’ensemble du territoire.

Privilégier la communication avec le peuple par des médias, et des moyens traditionnels.

Aller à la rencontre des peuples et des chefs traditionnels pour favoriser maintenant la lecture par la population des scrutins à venir.

Créer l’adhésion de confiance pérenne par l’espérance à la défiance des souffrances personnelles et collectives.

Conclusion :

Servons-nous de l’expérience gagnante de la gauche française qui à créer l’espérance deux fois en gagnant les élections.

François Mitterrand a réussi à chasser du pouvoir la droite par le projet commun des socialistes et des communistes.

François Hollande est parvenu au pouvoir par l’alliance des socialistes, du front de gauche et des écologiques en gagnant les mairies, les régions, le sénat, la présidence et l’assemblée.

 La plupart des réformes de la société française est à l’actif du bilan de la gauche.

Le congé payé, le mariage pour tous, l’abolition de la peine de mort, la réforme de la justice et des médias.

Aujourd’hui l’alternance est un acquis de la démocratie en France.

Cela permet à la justice de mieux fonctionner et aux politiques de ne pas se figer dans l’impunité.

Jacob ATA-AYI

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