« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme  » Rabelais

La jeunesse africaine utilise les nouvelles technologies sociales de manière inconsciente, très maladroite et court à sa propre perte.

L’affaire Dubaï Porta Potty en est l’exemple.


LE PROCESSUS

Le point de départ du processus de la perte est effectivement la recherche du gain facile.

Chemin faisant, s’y ajoutent les manquements à l’éducation au sens général (scolaire, parentale, sociétale.)

La stratégie de domination s’y insère habilement à un moment du trajet (au cours d’une émission radio, j’avertissais déjà que les réseaux sociaux sont une arme de destruction massive pour les communautés sous-éduquées, sous-conscientisées comme celles africaines. Pour utiliser la science dans le bon sens, il faut avoir une base d’éducation solide.)

Vers la fin du parcours, la gestion calamiteuse de nos États conduit à l’accident final, celui de la dépravation généralisée (politique, économique, sociale, sociétale et culturelle.)


AGIR

Il faut agir maintenant, vite et l’éducation est le point central.

Les sociétés qui ont créé les réseaux sociaux sensibilisent leurs enfants sur leur bonne utilisation et ce, déjà à l’école primaire. L’Afrique n’a rien à perdre en copiant cette bonne pratique.

La démarche doit monter d’un cran par la surveillance de certains programmes radiotélévisés qui sont de nature à infester et infecter le cerveau de la jeunesse.

La justice des mœurs doit être renforcée et un programme de rééducation durable proposé aux utilisatrices et utilisateurs peu scrupuleux.

Il faut aller loin en leur coupant si besoin, l’accès aux réseaux sociaux.

Au niveau de la gouvernance, l’Afrique doit rapidement donner à tous ses enfants un toit digne, trois repas équilibrés par jour et des soins de santé.

Sans une action publique radicale, l’Afrique ne s’en sortira pas.

Asafo

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