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Nicodème Habia, le député de l’Union des forces de changement (UFC, parti membre du gouvernement) au parlement est définitivement sorti de son silence et de sa reserve et prend publiquement position sur l’actualité togolaise. Après sa sortie médiatique du 18 juin dernier à la merci d’une interview accordée à certains médias de la place, le député UFC de l’Avé a récidivé ce lundi dans une émission animée sur Zéphyr, une radio de la place.
Celui qui se qualifie de « révolutionnaire » et « d’icônoclaste » a tenu à dire sa part de vérité à toutes les parties en conflit au Togo.
Parlant des casses qui ont eu lieu au siège de l’UFC les 12 et 13 juin derniers en marge d’une manifestation publique du Collectif « Sauvons le Togo », le député a appelé les organisateurs à prendre leur responsabilité et à éviter à l’avenir, ces malheureux incidents car, a-t-il martelé, « la violence appelle la violence ». « Nous serons obligés de réagir si cette situation se repète. J’ai été surpris de voir que les défenseurs des Droits de l’Homme au Togo n’ont pas réagi aux casses de notre siège », s’est-il étonné.
Si
Le Togo organise au dernier trimestre de cette année, des élections législatives élargies aux municipales. A l’approche de cette échéance, le CST, un collectif de partis politiques de l’opposition et d’organisarions de la société civile togolaise a pris les devants de la lutte politique avec des exigeances liées à la transparence de ces élections.