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Une quarantaine de journalistes des médias publics et privés sont réunis depuis mardi en session de formation à Atakpamé (180 km au nord de Lomé). Sont inscrits au programme de cette rencontre, les principaux sujets et enjeux inhérents à la filière cotonnière du Togo. Cette rencontre est organisée par la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT) dont le siège social est à Atakpamé.
 
Durant trois jours, les principaux acteurs de ce secteur et les hommes de médias auront à échanger sur plusieurs sujets liés au secteur histoire de renforcer les connaissances de la trentaine d’hommes et femmes de médias invités. « A cette rencontre, il s’agit de partager les réalités, les enjeux, les exigences et la complexité du secteur cotonnier, placer la transparence et la bonne gouvernance au cœur de la gestion de la filière et mieux intégrer les médias dans ce secteur diversifié », a indiqué à l’ouverture des travaux, Dr Kokou Djagni, Directeur général de la NSCT.
 
De 1974 à 1990, la production du coton au Togo a connu une évolution fulgurante partant de 12 mille tonnes de coton-graine à plus de 186 mille tonnes de coton-graine.
 
A la suite de la parenthèse de la Société togolaise de coton (SOTOCO), plusieurs actions sont menées avec la NSCT pour faire de ce secteur, un secteur florissant qui contribue à 4,3% au produit intérieur brut (PIB).
 
La NSCT envisage d’atteindre dans les 10 ans à venir la production de 200 mille tonnes de coton, de transformer 10% de cette production en garantissant aux producteurs « un prix décent ».
 
La Nouvelle société cotonnière du Togo est une société d’économie mixte créée le 29 mars 2009 en remplacement de la Société togolaise du coton (SOTOCO). Elle dispose d’un capital social de 2 milliards de F CFA.
 
(Photo Dr Kokou Djagni à gauche accompagné d’Alagbé Bayédjè, préfet de l’Ogou au micro)
 
Telli K
 

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