Les discussions ont effectivement démarré ce lundi 19 février entre les représentants du parti au pouvoir, Union pour la République (UNIR) et ceux de la coalition des 14 parties politiques de l’opposition sous la médiation du président Ghanéen, Nana Akufo-Addo.
Au menu des discussions, la résolution du problème togolais à commencer par la mise en oeuvre des « mesures d’apaisement » demandées par l’opposition. Des mesures qui portent sur la libération des personnes détenues dans l’affaire des incendies des marchés de Lomé et Kara ainsi que celles interpellées au cours des manifestations politiques de l’opposition.
Débutés sans les représentants du gouvernement, leur présence a été plus tard acceptée par le médiateur, Nana Akufo-Addo et les autres acteurs participants au dialogue.
La délégation gouvernementale, s’il y a lieu de le rappeler se compose des ministres de la Justice, et des Relations avec les Institutions de la République, Kokouvi Pius Agbetomey, de la Sécurité et de la Protection Civile, Yark Damehame, de l’Administration territoriale de la Décentralisation et des Collectivités Locales, Payadowa Boukpessi et de la Fonction publique, du Travail et de la Réforme Administrative, Gilbert Bawara.
Le médiateur, Nana Akufo-Addo, Président de la République du Ghana a eu des échanges dans l’après-midi du lundi avec le chef de l’Etat togolais, Faure Gnassingbé sur la question des revendications de l’opposition portant précisément sur les mesures d’apaisement et la libération de ses 102 détenus, a appris l’Agence de presse Afreepress.
 
Un point qui est toujours en discussion.
Christelle Agnindom
 
source : afreepress
 

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