Les Ambassades du Togo à l’extérieur n’échappent pas à la gestion scabreuse faite du pays par le système RPT/Unir. Depuis quelques semaines, les dessous puants de l’Ambassade du Togo à Paris sont exposés à la place publique par un officier gendarme du nom de Koudjo EDJAMTOLI précédemment en poste dans ladite ambassade.
 
Après une première sortie, il revient dans une nouvelle lettre sur la gestion artisanale de cette Ambassade et surtout sur les exploits en matière de détournement du premier responsable, l’Ambassadeur Calixte Madjoulba. Des révélations à vous couper le souffle dont nous passons une première partie. La suite dans notre parution de vendredi. Lecture !
 
ARRESTATION DE Koudjo EDJAMTOLI en juillet 2011
 
En tant que Togolais et fier de l’être, mon patriotisme n’a d’égal que l’amour que j’ai pour ma propre personne. Ainsi, j’ai toujours été dans l’exercice de mes fonctions animé par la seule volonté de servir mon pays le Togo.
 
En me frottant avec la réalité occidentale où la quête perpétuelle du développement n’est que l’ouvrage laborieux, quotidien et personnel des citoyens, j’ai cru devoir en toute honnêteté donner le meilleur de moi-même à l’Ambassade du Togo à Paris où j’ai été affecté comme Attaché Consulaire.
 
Cet engouement était sans compter des enjeux stratégiques d’un certain lobby au Togo et des gros intérêts dont ils tirent profit.
 
Aussitôt arrivé, je constate le fonctionnement opaque de l’organisme dans ses services consulaires où Monsieur Calixte MADJOULBA exerçait la fonction de Consul depuis 2004. Tenu par le droit de réserve, je m’engage néanmoins à informer la hiérarchie au Togo par correspondances sous pli fermé, espérant ainsi provoquer un contrôle qui mettrait un terme à ces pratiques mafieuses au sein de l’Ambassade pour le plus grand intérêt de mon pays le Togo.
 
J’ignorais entre-temps que ces courriers étaient renvoyés à Calixte MADJOULBA par des personnes qui tirent profit directement ou indirectement de ces actes de corruptions et de malversations pourtant décriés dans des discours par nos dirigeants au Togo.
 
Et pourtant, pour le féliciter du bon travail accompli en lieu et place des contrôles espérés afin de sonner la fin de la récréation installée par la mafia, Calixte Batossie MADJOULBA sera plutôt nommé Ambassadeur, au grand dam des intérêts togolais et de la fortune publique au sein de notre Ambassade. J’ai alors compris pourquoi mes collègues et tout le personnel en service dans cette institution à Paris qui avaient connaissance de ces pratiques préféraient garder le silence.
 
En prenant le risque d’informer la hiérarchie de toutes ces fraudes, j’ignorais pourtant que j’avais signé moi-même mon arrêt de mort.
 
Ayant bénéficié en 2011 d’un congé triennal de 60 jours signé du Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, je me rends au Togo avec ma famille (mon épouse et mes trois enfants) pour assister aux cérémonies commémoratives du décès de mon père, les billets d’avion offerts par l’Etat.
 
Y étant, à huit jours seulement de mon retour à Paris, après 35 jours passés sur place à Lomé , soit le 11 Août 2011, le Directeur Général de la Gendarmerie Nationale en la personne du Colonel YARK reçoit des ordres urgents et pressants tôt le matin du jour même, venant du Général Atcha TITIKPINA, Chef d’Etat Major Général des FAT et du Directeur de Cabinet du Ministère de Défense et des Anciens Combattants, Kuma BITEMNIWE, de me mettre aux arrêts avec instruction de ne pas me laisser rentrer à Paris reprendre mon poste, car ma présence était devenue très encombrante pour eux et leurs activités.
  C’est en m’informant du motif de mon arrestation que j’apprendrais avec stupéfaction que j’avais quitté mon poste sans permission, ce qui me valait 30 jours de prisons avec demande d’augmentation. Ainsi, le diplomate que j’étais à l’instant, était jugé et condamné par l’Armée. Un jugement où je n’avais aucun mot à dire, mais que j’étais contraint à subir.
 
Aussi vrai que cela puisse paraître, un tel motif vaut-il une arrestation et une condamnation ?
 
Peut-on aller en prison au Togo de si peu ?
 
Même si ce motif était fondé à la base, qu’est-ce qu’une affaire intéressant les fonctionnaires du Ministère des Affaires Etrangères venait chercher à la Gendarmerie ?
 
La certitude des réponses à ces trilogies ne peut s’expliquer que par la présence de Calixte Batossie MADJOULBA à Lomé à la veille du jour de mon arrestation, car le Super Ambassadeur, comme il aime se faire appeler, était venu activer ses réseaux et son lobby contre ma personne et repartir aussitôt.
 
Je l’apprendrais d’ailleurs à mes dépens de la bouche même de Kuma BITEMNIWE assis derrière son bureau le 18 août 2011 aux environs de 15 heures 30 minutes
 
En effet, suite aux multiples interventions promptes et énergiques de Monsieur Eliott OHIN, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération pour qui Calixte Batossie MADJOULBA voue un mépris à nul autre pareil du fait de son appartenance politique à l’opposition (il l’appelle toujours petit opposant), qui a très tôt décelé une supercherie voire une injustice qui se peaufinait à l’horizon, exigeant ainsi ma libération immédiate et sans condition, le 17 août 2011, libération lui sera refusée au motif que mon incarcération est une affaire purement militaire.
 
Par contre, ils auront plutôt l’audace de demander à Monsieur Eliott OHIN de signer mon rappel au TOGO. Ce qui leur sera refusé, le Ministre évoquant le fait que je sois régulièrement en congé pour leur opposer une fin de non recevoir à son tour.
 
Déçus, mes bourreaux commanderont alors une perquisition à mon domicile afin de confisquer mes documents de voyage et papiers diplomatiques. Menottes au poing, je serais conduit avec des hommes armés dans mon domicile.
 
La ruse de mon épouse permettra aux forces de l’ordre de rentrer bredouille. Celle-ci ayant pris l’initiative de les mettre en lieu sûr avant de s’envoler avec mes enfants pour Paris.
 
Je suis alors par la suite conduit manu militari le 18 aout 2011 au Ministère de la Défense sur convocation du Directeur de Cabinet du Ministère de la Défense. Après une longue conversation, Kuma BITEMNIWE me dit en kabye : « tang, Ambassadeur dzognodzowu pitikè sono», ce qui veut dire que MADJOULBA me cherchait depuis et qu’il a juste profité de ma présence au Togo pour en découdre une fois pour toutes.
 
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, j’avais en face de moi un des bourreaux qui se confiait à sa victime.
  Comment comprendre cette attitude qui frise le sadisme d’un décideur qui ne mesure pas la portée de ses actes ?
 
Comment peut-il oublier toutes les injustices dont il a été victime lui-même à une époque donnée pour devenir à ce jour un des chantres de l’injustice togolaise ? Et comme pour terminer sa confession, Kuma BITEMNIWE me confie qu’il ne pouvait faire autrement, de peur que Calixte Batossie MADJOULBA et ses amis ne complotent contre lui auprès du Président de la République.
 
Décidément le « Togo » est-il devenu le lit des « complots » ?
 
La lettre « O » qui rime dans les deux mots est-il le fait du hasard ?
 
Nul doute que la conscience a foutu le camp chez nous, laissant place à l’inquiétude.
 
En bref, au Togo tout le monde complote contre tout le monde. « Le Super Ambassadeur complote contre son collaborateur ». « Les Super Généraux, les Directeurs de .Cabinets complotent contre le petit Maréchal des Logis-Chef ». Ainsi, lorsque le complot est bien ourdi, il ne reste qu’au président de la République de signer les yeux fermés la réforme proposée par les comploteurs.
 
 
LE SYSTEME D’ENRICHISSEMENT ILLICITE
 
Arrivé à la tête du Consulat du Togo en France en 2004 comme Consul Général, Monsieur Calixte Batossie MADJOULBA a bravé toutes les limites des interdits des usages diplomatiques.
 
C’est tout d’abord à un ami et proche, Monsieur TCHAMDJA, propriétaire de la société privée INTERSIS-TOGO, qu’il confie ce qui est supposé être le domaine réservé à un service spécial de l’Etat, à savoir l’envoi des dossiers de confection de passeport au Togo ; document censé initialement être envoyé par valise diplomatique au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération pour être convoyé ensuite à la direction en charge de leur traitement. Ceci, au vu de l’importance et de la protection des informations de confidentialité y afférantes.
 
Cette attitude, somme toute dangereuse pour la vie privée de nos concitoyens, était sans compter l’intérêt et le profit qui a toujours animé notre Consul de l’époque dont la seule motivation est de s’enrichir le plus rapidement possible.
 
En demandant à la comptabilité de lui verser 50,00 Euros par dossier représentant les frais de renouvellement de passeport au TOGO, Monsieur le Consul reversait en réalité à son transitaire Mr TCHAMDJA la somme de 45,00 Euros, soit 30.000 FCFA par dossier représentant les frais réels exigibles pour l’établissement de cette pièce. 20,00 Euros représentant les frais d’envoi et retour par dossier au TOGO était également versé à ce transitaire contre 5, 00 Euros, soit (3250 Fcfa) de retro commission versée à Batossie MADJOULBA qui savait pertinemment dans toutes ses manigances qu’il a engagé l’Etat à faire des dépenses insensées pour se faire du beurre.
 
L’on apercevra alors régulièrement l’une des femmes de ce transitaire trimbaler à l’aéroport de Roissy Charles De Gaule (Paris) en France, la valise diplomatique à la recherche d’un éventuel passager en partance pour le Togo afin de confier à celui-ci le colis contre une petite enveloppe de 50,00 Euros.
 
Une autre stratégie visant à assouvir sa boulimie financière, était celle de la légalisation des dossiers de passeports sans apposer les timbres fiscaux.
 
En effet, Paris étant le centre de traitement de tous les dossiers venant de l’Europe, étant donné que le cout global par dossier de renouvellement de passeport était de 105,00 Euros soit 68 250 F cfa, Mr le Consul de l’époque a décidé d’empocher tous les frais destinés à l’achat des timbres.
 
Sur la somme de 105,00 Euros versée par dossier, 30,00 Euros, soit 20.000F cfa sont réservés à la légalisation de l’acte de naissance, le certificat de nationalité et l’attestation de la personne à prévenir (trois documents pour trois timbres fiscaux de 10,00 Euros chacun)
 
Et pendant plus de six ans, entre 2004 – 2009, Calixte MADJOULBA a littéralement empoché tout l’argent des timbres fiscaux, se limitant par la même occasion à apposer uniquement le sceau humide sur chaque dossier en lieu et place bien sûr du sceau plus timbre habituellement requis. Les dossiers en provenance d’Espagne, d’Italie et d’Irlande étant les plus ciblés pour cette pratique.
 
Le rituel a été reproduit avec les titres de voyages (30.00 Euros par dossier), la carte consulaire (20.00 Euros par dossier) et la déclaration de naissance (10,00 Euros). Là encore les dossiers signés n’avaient de timbres fiscaux et l’équivalent des frais lui était reversés à chaque fin de semaine. Des sommes comprises entre 900.00 et 1.500,00 Euros par semaine selon les saisons.
 
Ayant pris goût à l’argent, Calixte MADJOULBA s’est substitué en Super Comptable et a imposé que les frais des dossiers à traiter au Consulat lui soit versés directement en liquide et en main propre.
 
Quant aux dossiers des visas expédiés, dont les frais sont des mandats cash, sieur Calixte Batossie MADJOULBA les traitait toujours le dimanche à son domicile. En ce qui concerne les mandats, ils sont touchés par lui-même pour une destination inconnue.
 
Entre-temps, il a pris le soin de détruire les fonds des dossiers année par année, croyant ainsi dissimuler ses forfaits. Ce qui est en réalité une peine perdue, car il y a plusieurs manières de ralentir la vitesse d’un chien qui court trop vite.
 
En ma double qualité de Gendarme bien formé et d’Officier de Police Judiciaire (O.P.J), en décidant d’informer la hiérarchie à l’époque par amour pour mon pays, j’avais pris toutes les dispositions nécessaires parce que je le tenais à l’œil depuis 2007 au vu des antécédents de 2006 où des incendies volontaires ont été perpétrés à dessein par des mains criminelles.
 
Afin d’obtenir la soumission, le silence de ses collaborateurs (Consulat), c’est la somme de 200,00 Euros et deux bouteilles de vin qu’il remettait à chacun d’entre nous à chaque fin d’année.
 
Calixte Batossie MADJOULBA a su se créer des sources énormes d’encaissement d’argent à titre personnel sur le dos de l’Etat Togolais.
 
C’est ainsi qu’il va créer en intelligence avec Monsieur Edouard KPINZOU, informaticien de profession, un site internet pour l’Ambassade du Togo à Paris. Ce qui n’est pas une mauvaise chose en soit. Mais ce qui est inquiétant, voire regrettable à la limite est le fait de percevoir 0,60 centimes par personne demandant le visa. Cette cupidité exacerbée est allée assez loin à l’ouverture du service au public où ces deux acolytes facturaient à l’Ambassade le même montant soit 0,60 centimes à toute personne où qu’elle soit dans le monde qui visitait ledit site.
 
Ainsi, ils ont pu percevoir alors plus de 4.000 Euros par mois soit plus de 2.650.000 F cfa. Somme qu’ils se sont toujours partagée sans grande gêne. Toujours dans le besoin de se faire plus d’argent sur le dos de l’Etat Togolais, le duo en question a opté de procéder aux surfacturations à tel point que l’Ambassade leur est redevable aujourd’hui de plus de 15.000,00 Euros, soit 10.000.000 de Fcfa. Somme que le nouveau comptable refuse de payer malgré les menaces multiples de Calixte MADJOULBA et son complice.
 
Tout est fait comme si l’Ambassadeur mafieux qui connaît parfaitement les entrées financières de notre représentation diplomatique à Paris, essaye de tout faire pour lui soutirer de l’argent au maximum. Quitte à mettre cette institution en cessation de payement. L’essentiel pour lui étant de se faire beaucoup d’argent et le plus vite possible. Ainsi des missions récurrentes et fictives sont légion.
 
La facture de son téléphone personnel avec abonnement à ORANGE dont la charge incombe à l’Ambassade a battu le record de tous ses prédécesseurs (entre 3.000 et 5.000 Euros par mois), soit entre 2.000.000 et 4.000.000 Fcfa par mois. Il se vante d’ailleurs de n’être pas allé au-delà du fait de ses amitiés personnelles avec le Président de la République
 
D’ailleurs notre Ambassade paye aussi les frais des avortements dans les hôpitaux en Italie suite aux grossesses non désirées du fait des parties de plaisir avec des collaboratrices, femmes d’autrui.
 
Comme par miracle, MADJOULBA devenu Ambassadeur a rétablie l’apposition des timbres fiscaux sur tous les dossiers afin d’empêcher à son successeur de faire comme lui.
 
6/
Cette intention trouve sa justification sur le fait que MADJOULBA, devenu Ambassadeur, a désormais besoin de l’argent des timbres pour financer ses déplacements et se mettre régulièrement en mission.
 
Le personnel du Consulat sur instruction de Calixte Batossie MADJOULBA a appris à ses dépens qu’il doit désormais leur poste à cet informaticien, une espèce de Chef bis qui, exerçant en temps plein dans une entreprise à Paris, perçoit au même moment des montants faramineux à l’Ambassade du TOGO sans les déclarer au FISC Français.
 
Edouard KPINZOU, puisqu’il s’agit de lui, est devenu l’homme à tout faire qui donne et refuse des visas à qui il veut sans le moindre texte de Loi lui conférant cette qualité. Des visas sont accordés à des gens ne remplissant aucune condition.
 
L’adage selon lequel « Qui s’assemble se ressemble » étant toujours vérifié, il y a lieu de s’interroger sur sa moralité au vue de sa proximité très forte avec Calixte MADJOULBA.
 
 

TRAFFIC D’INFLUENCE

 
Depuis son arrivée en 2004 à Paris tout d’abord comme Consul Général, puis en 2010 comme Ambassadeur, Calixte Batossie MADJOULBA est apparemment en communication téléphonique avec le Président de la République ceci 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
 
Ainsi, n’hésite il pas à l’annoncer à qui veut l’entendre à chaque fois que son téléphone sonne, qu’il est appelé par le Chef de l’Etat créant ainsi la psychose et la panique autour de lui.
 
Auparavant, c’était Monsieur Kpatcha GNASSINGBE qui l’appelait régulièrement. Il s’en vantait d’ailleurs et se félicitait de rouler dans les véhicules payés par le Ministre de la Défense de l’époque. Des voitures qui sont devenues sa propriété privé ce jour.
 
La conséquence directe de cette technique d’influence a été de museler tout le personnel de l’Ambassade et d’avoir ainsi les mains libres pour s’enrichir de façon ostentatoire et illicite : qui peut oser regarder en face un tel personnage qui dit à ses interlocuteurs être la tête pensante du régime du Président Faure?
 
De toute manière, des maisons, il en achète en France et en a fait construit d’autres au Togo :
 
-Une belle et grande villa à sa belle famille à Lomé
 
-Une résidence grand chic à Agoè (Lomé) pour laquelle, il a fait déplacer un technicien de Paris, billets d’avion payés par les soins de notre Ambassade afin d’aller assister les maçons du Togo pour lesquels il n’avait pas de confiance disait-il.
 
Comment comprendre le silence de la hiérarchie face à des appels pressants et multiples de ma part durant cinq ans de mes loyaux services au sein de cette institution (Ambassade du Togo à Paris)?
 
7/
En informant la hiérarchie par des rapports sur tous ces dérapages de Batossie MADJOULBA, avais-je mal fait mon travail de Gendarme bien formé pour servir en toute loyauté mon pays le TOGO?
 
Par cette affaire, quelle image veut-on renvoyer au peuple togolais en général et à la jeunesse, fer de lance de la nation en particulier ?
 
Est-ce la victoire des fossoyeurs de la République sur les loyalistes ?
 
La récompense d’une bonne action du patriote que je suis vis-à-vis de son pays est-elle une mauvaise action du Chef de l’Etat qui signe les reformes ?
 
Est-cela le paradoxe togolais ?
 
En tout état de cause, des institutions en charge du contrôle des fonds de l’Etat qui se tournent des pouces faute de travail ont désormais de quoi se mettre sous la dent si leur ambition réelle est de servir notre pays le Togo. Ils peuvent d’ailleurs compter sur toute ma disponibilité et ma modeste contribution. Car, si ce n’est vouloir encourager la pratique, nulle ne peut se permettre d’avaler la fortune publique en toute impunité dans un pays dit de Droit : cela s’appellerait rendre Justice au peuple Togolais.
 
N.B : Episode de détournement des fonds destinés à la rénovation de l’Ambassade du Togo plus tard
 
Koudjo EDJAMTOLI
 
 
lalternative-togo.com
 

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