Kodjoviakopé, le quartier de résidence du leader de l’Alliance nationale pour le changement (ANC, opposition) a vécu ce samedi sous des détonnations de grenades lacrymogènes et de tirs de balles en caoutchouc, a constaté l’Agence Afreepress.
 
« Alors qu’il devait se rendre ce samedi à une invitation de l’Ambassade de France s’inscrivant dans le cadre de la célébration du 14 juillet, Jean-Pierre Fabre a été interdit de sortie et son domicile pris d’assaut par la soldatesque », a confié à afreepress, un responsable de l’ANC.
 
Le leader de l’ANC, joint dans la soirée de samedi par Radio france internationale (RFI) donne sa version des faits. Il confie avoir pu échapper à la surveillance hebdomadaire que les forces de l’ordre observent autour de son domicile depuis quelques mois. Arrivé sur le lieu où devait s’ébranler la manifestation, poursuit Jean-Pierre Fabre, la délagation fut accueillie par des tirs de grenades lacrymogènes. « Ils m’ont poursuivi jusqu’à mon domicile où des grenades lacrymogènes ont été tirés toutes la journées.
», a déclaré Jean-Pierre Fabre.
 
 
afreepress.info
 

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