Le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) renforce depuis lundi à Kpalimé, les capacités des hommes de médias en matière de santé de la reproduction.
 
L’institution organise du 15 au 19 octobre 2012 à Kpalimé, un séminaire de formation à l’endroit des acteurs de la communication de la préfecture du golfe et des 5 régions économiques du Togo sous le thème « Réaliser un monde où chaque grossesse est désirée, chaque accouchement sans danger et le potentiel de chaque jeune accompli ». Cette rencontre d’une semaine, selon la représentation de l’UNFPA au Togo, a pour objectif de permettre aux journalistes de se familiariser avec les domaines d’intervention de l’institution onusienne et de permettre une meilleure visibilité de l’UNFPA dans les médias, a constaté un journaliste de l’Agence Afreepress sur place.
 
Il s’agit pour l’UNFPA d’informer les journalistes et communicateurs du Togo sur les domaines d’intervention de l’institution, d’améliorer les compétences des participants en matière de planification familiale, de les encourager à promouvoir la santé familiale et l’utilisation du préservatif masculin et féminin sur leur média.
 
La cérémonie d’ouverture de cette rencontre s’est tenue le lundi dans un hôtel de la ville de Kpalimé en présence du préfet de Kloto, APEDO Awou Otteko.
 
Plusieurs communications vont meubler les cinq jours de rencontre. Elles porteront sur « la santé sexuelle et de la reproduction des jeunes », « la communication et le plaidoyer en appui à la santé de reproduction », « les genres journalistiques et formats appropriés », « les médias, la promotion de la planification familiale, de la prévention du VIH Sida », « le rôle des médias sur la présentation et la promotion de l’utilisation des préservatifs masculins et féminins », « les différentes composantes de la santé de reproduction », etc.
 
Le fonds des Nations Unies pour la population intervient dans trois principaux domaines à savoir le domaine de la santé de la reproduction, le domaine de la population et le développement et celui du genre culture et droits humains.
 
 
David B.
 
afreepress
 

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