Une rencontre d’échange entre les membres de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) et les spécialistes du droit sur la législation de la presse s’est ouverte le 25 janvier 2012 à Kpalimé.
Il s’agit de revisiter les différents textes et d’envisager des solutions aux faiblesses de la législation togolaise en matière de presse.
Qui de la HAAC ou du corps judiciaire droit régler les problèmes de non respect de la déontologie du métier de journalisme ? Voilà la grande question qui justifie l’atelier de Kpalimé qui fait suite à celui de Notsé tenu du 17 au 20 janvier 2012.
Pour le président de la HAAC, Biossey Kokou Tozoun, la régulation des médias implique en amont et en aval différents acteurs dont les attributions doivent être redéfinies pour ne pas porter préjudice à la liberté de la presse.
Selon Abdoulaye Yaya, secrétaire général de la Cour Suprême cette rencontre va permettre aux participants de diagnostiquer les maux dont souffrent les textes de loi de la presse au Togo et de poser les jalons de l’application des sanctions pénales dans les délits de presse.
La rencontre de Kpalimé tout comme celle de Notsé se situe dans le cadre du Programme d’Appui Institutionnel (PAI) à l’Etat togolais, un projet financé par l’Union Européenne (EU) dont la convention a été signée depuis le 12 novembre 2007.
Les travaux de cette rencontre prennent fin le vendredi 27 janvier 2012
radiolome.tg

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